Intro : Gm C7 F F Monsieur le juge, que l'on me juge, F7b9 C7 sans trop d'sévérité car sur mon âme, c'qui fit le drame, G#7b9 F c'est la fatalité. F J'suis un vaurien, oui je le sais bien, F7b9 C mais tout d'même, jamais, Dm G je n'aurais fait C A7 c'qui m'amène ici, Dm G7 C7 sans ce chat maudit. F Un chat qui miaule, j'vous jure ça fait drôle, C7 quand on cambriole sans bruit, son cri s'élance, telle une démence, F troublant le silence des nuits. F Un chat qui miaule, c'est presque un symbole, A7b9 Gm de la mort qui frôle la peau Gm7b5 comme un étau F D7 qui vous tordrait le coeur, Gm C7 F on a peur. Après l'étude des habitudes du richard de Neuilly, par la fenêtre, v'la que j'pénètre, jusque devant son lit. Dans le halo de mon blanc falot j'aperçois le magot. Sous l'traversin, j'avance la main, quand sur le chemin... Ce chat qui miaule, j'vous jure ça fait drôle, quand on cambriole sans bruit, son cri s'élance, telle une démence, dans le grand silence des nuits. Un chat qui miaule, c'est comme symbole, de la mort qui frôle la peau comme un étau qui vous tordrait le coeur, j'ai eu peur. Le vieux se dresse, d'un bond d'détresse, comme dans un cauchemar. Sa gorge ronfle, ses veines se gonflent, il me fixe, hagard. Son regard fouille, mes idées qui grouillent dans ma cervelle en feu, quand tout à coup, fermant les yeux, j'ai serré son cou. On cabriole, notre lutte est folle, et ce chat qui miaule plus fort, son cri s'élance, telle une démence, troublant le silence de mort. Un chat qui miaule, c'est comme symbole, de la mort qui frôle la peau. Quand c'chat s'est tu j'étais d'venu soudain assassin. F Monsieur le juge, F7Maj que l'on me juge, F7b9 C7 sans trop d'sévérité Gm7 car sur mon âme, C7 c'qui fit le drame, Gm C7 F Bb7 F c'est la fa-ta-li-té.
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